Ski, aperçu de la saison 2024

 


 


Ski en Oisan dans la région de la Grave et du col du Lautaret


Avec, en partie, la section prévôtoise du CAS, 12 – 17 mars.


C’est à 8 que nous nous retrouvons en fin d’après-midi au gîte « le Rocher », à l’entrée du village de la Grave, en France, au pied de la face nord de la Meije et du téléphérique des Ruillans. La neige semble parfaite et le soleil devrait briller ces prochains jours, le danger d’avalanche est marqué (3). Les conditions sont réunies pour que nous passions un bon séjour. Programme du 13 mars : on va se dégourdir les jambes à l’aide des installations qui nous propulsent à 3500m, il y a encore quelques traces à faire et ainsi je peux me rendre compte des conditions de la région.


C’est à 7 que nous embarquons dans les petits œufs, un participant est malade ; ce n’est pas grave, les jours suivants s’annoncent parfaits aussi. Le paysage est extraordinaire, de la neige vierge de trace nous tend les bras sur le glacier. Après être monté avec le téléski supérieur (voir à ce sujet cette BD, à chacun de se faire un avis là-dessus) qui ne peux plus nous tracter jusqu’au sommet du Dôme de la Lauze, faute à la fonte des glaces, nous collons les peaux pour l’atteindre en 20 minutes. C’est le conte de fée, grand beau, la Barre des Ecrins, Ailefroide et le Mont-Blanc au loin. Après avoir trouvé le bon endroit pour atteindre la poudre, c’est l’extase !
Hélas, dans la vie, il y a toujours cette « face cachée », le négatif qui nous rattrape, qui rappelle que tout ne tient qu’à un fil. Françoise chute juste avant d’atteindre la bonne neige, son genou craque ; je ne connais que trop bien cette histoire… Elle a mal, essaie de remettre ses skis, sans succès. Coup de fil aux secours, un peu de patience mais pas tant que ça, puis le gros hélico bleu déboule depuis Briançon. Et ça va très vite, Françoise s’envole, soulagée, tout comme nous ; le sauvetage s’est déroulé sans complications.
Nous ne sommes plus que 6… le conte de fée se changerait-il en cauchemar ? Soyons sur nos gardes. Un peu penauds, nous poursuivons la descente du glacier de la Girose en direction du col du Lac, en poudreuse 5 étoiles. Depuis le col, ça se change en champ de bosses, toujours plus molles, puis nous passons vers le refuge Chancel et plus bas, reprenons la cabine à P1. Le temps a filé, nous n’avons toujours pas mangé, mais nous voulons encore profiter des lieux. Remise des peaux pour 30 minutes à 3400m pour skier dans une poudre de rêve, tout proches de la face nord du Rateau.
Au gîte, nous retrouvons Françoise avec une attelle, elle et son mari ont refait leurs valises et nous quittent dès ce soir. Comme je les comprends et je compatis !


Puis, déjà lassés des téléphériques et de la file d’attente, nous passons le Lautaret jeudi 14 pour aller gravir les Jumelles sud, 1300m de dénivellation, danger 3 toujours. Belle virée sauvage qui nous permet de mieux découvrir le massif. C’est par une bonne suée au soleil que nous atteignons le point culminant. Mais il semblerait que le vent ait plus soufflé dans ce versant qui se situe au nord-est du massif. Après quelques bonnes secousses dans la désagréable première pente, nous optons pour du ski de printemps dans les versants qui ont chauffés et tout se passe très bien. Très jolie sortie, nous sommes toujours 6. Petite bière au bistrot du col du Lautaret où l’objectif du lendemain nous saute aux yeux. Puis j’écoute aussi attentivement quelques tuyaux donnés par le sympathique serveur.


Vendredi 15, ils annoncent un petit bémol météo pour l’après-midi. On verra bien. On chausse les skis au col du Lautaret et on file en versant nord des Pics de Combeynot. 1000 mètres de pente déjà bien traçée mais où il reste encore plein de place. Le degré de danger est descendu à limité (2). Nous montons efficacement, ça se raidit, nous portons les skis sur le 150 derniers mètres. La vue est toujours au top mais les nuages approchent, on file pendant qu’il en est encore temps. Petit pic-nic au pied de la pente, puis, la visibilité n’étant pas franchement mauvaise sur le bas, on remet les peaux pour 500 mètres, à la limite du brouillard. Il n’y a pas de mal à se faire du bien, non ? Pour cette deuxième pente de la journée, nous ne sommes plus que 5, mais pas d’affolement, la personne manquante n’a simplement pas ressenti de syndrome « vite encore une » ; je l’envie parfois.


Samedi 16, j’hésite entre plusieurs objectifs, certains réalistes, d’autres moins. C’est notre dernier jour, on veut en profiter, mais je dois vraiment, comme toujours, faire preuve d’objectivité dans mes choix. Danger 2, nuageux le matin puis franche amélioration, il y a toujours un truc qui me gêne sur la balance. Finalement, c’est l’instinct qui l’emporte, et avec du recul, je m’en serais voulu de ne pas être allé là, tant c’était fantastique ! Direction Pic de Chamoissière ; l’approche de 2 heures et 400 mètres de dénivellation, un peu monotone est tout de même vite derrière nous. Nous cassons la croûte au pied de notre face, près du refuge de Villars d’Arène, encore fermé, puis nous attaquons 1000 mètres de montée, passablement à l’ombre, et bien raide en haut, on arrive tout juste à monter skis aux pieds. Il faut souvent refaire la trace et les peaux bottent, tout se ligue contre nous, mais on fait face. Soleil au sommet, petit vent frais, l’après-midi avance. Des traces magnifiques sur le Pic de neige Cordier tout proche me fait penser que je vais revenir par là. Ce massif des Ecrins est d’une sauvagerie que je n’ai que très peu vu ailleurs dans les Alpes. Pour la descente, rien à dire, ce serait superflu ; ah si : on peut dire que la qualité de la neige a fait oublier les contrariétés diverses et variées de chacun, elle a fait aimer la vie, et le ski, encore un peu plus. Pour le retour à la voiture, ça s’est passé mieux que prévu, comme quoi, le choix de visiter cette vallée perdue était le bon. Après un petit repeautage pour éviter de pousser, puis une neige dure, puis caillouteuse avec un peu de marche aussi, nous retrouvons la piste de ski de fond déjà bien redurcie qui nous conduit au bistrot en quelques coups de bâtons. A mon grand soulagement, nous sommes toujours 6, en pleine forme après 4 jours inoubliables.
Merci l’équipe, et merci au gîte pour le super accueil et les bons plats.
Nous souhaitons aussi un bon rétablissement à Françoise.


 


L’hiver touche à sa fin, ça va vite, me suis bien éclaté en tout cas, pourvu que ça dure. Bienvenu au printemps !!


 


UNINE I / 2024, 2-3 mars, Unterbäch VS


L’extension du Magic Pass donne des envies de découverte ; tous ces petits coins dont j’avais entendu parler mais où je n’étais jamais allé ; il y en a encore tant à découvrir. D’un côté, c’est génial que des petites stations comme celle-là, familiale, sympa et à taille humaine perdure afin de concurrencer les grosses usines à touristes, d’un autre, ces câbles partout commencent à me faire vomir, pourtant qu’est-ce que j’en ai consommé. Enfin bref, les contradictions font partie de la vie.


C’est finalement avec 3 participants que je me retrouve au téléphérique à Rarogne pour monter à Unterbäch. Notre gîte, l’Alpenrössli, se trouve au haut du premier télésiège. Puis nous montons au sommet des installations, le temps est plutôt bon même si des nuages restent en embuscade. Peautage (et pas potage, ce n’est pas l’heure) en direction du Dreizehnhorn. Nous renonçons au sommet de peur de ne plus avoir de visibilité et filons directement sous le col dans de magnifiques pentes. Un pic-nic plus tard, nous remettons les peaux pour 30-45’. Les stoppers de l’un des participant ne se rétractent plus, pas très pratique pour marcher. Après quelques bricolages, une situation satisfaisante se profile. Il aurait été dommage de rater la suite. Une descente exceptionnelle de 600m, peut-être la meilleure de la saison, s’offre à nous du point 2607 jusqu’au bas du tire-fesse supérieur, ça peut difficilement être mieux. Puis c’est l’heure de l’apéro et du repas, on en profite tellement qu’on se retrouve encore à 22h en souliers de ski… Le lendemain, hélas, la tempête déboule du sud, les installations ne fonctionneront pas, il neige à l’horizontal. Nous faisons un peu de bla-bla au sujet des avalanches puis, la balade dans la forêt ne nous tentant pas le moins du monde, de peur de se faire assommer, on prend gentiment le chemin du retour. C’est la loi de la montagne, ça fait pour moi le 7e jour d’affilé où je dois jongler avec ce danger « marqué » et prendre des décisions, il est temps de faire une pause. Merci l’équipe, on se revoit dans un mois pour le second volet UNINE.


 


Camp CPNE 2024, Bas-Valais, du 26.02 au 1.03


Comme chaque année depuis bien longtemps, les 3 bus aux plaques neuchâteloises, pleins à craquer, filent en direction des Alpes. A leurs bords, des jeunes et des moins jeunes. Chaque année aussi, l’endroit choisi est différent. En 2024, le camp de base se situe à l’hôtel du col de la Forclaz, au-dessus de Martigny. Il semblerait que l’hiver soit revenu, mais seulement au-dessus de 1500 mètres. Nous sommes 13, le temps est mitigé, le danger d’avalanche est « marqué », un bon cocktail explosif. Mon ami Dave, presque un local que je remercie ici, me file 2-3 tuyaux.


Ainsi, le premier jour nous voit partir directement au-dessus du camp de base, à la croix des Prélayes, 800mètres de montée, une neige de rêve. Le groupe fonctionne bien, on s’arrête à la limite des nuages, la descente est raide, la neige top.
Le second jour nous voit nous déplacer aux Crettons, pas loin de la douane du Châtelard afin de monter à la Carraie, faisant un petit tour non loin du domaine skiable de Vallorcine où nous croisons quelques « riders » montés en tire-fesse. Puis, le vent se lève, la visibilité diminue. Tout à coup, la croix du sommet apparaît. Pour la descente ben… direct dans les clairières, ça passe d’après les locaux, mais qu’est-ce que c’est raide !! La neige est meuble, le sluff descend avec nous, ça ne m’inquiète pas trop, sauf quand un participant se farci 50 mètres en roulé-boulé et finit par se prendre son ski qui suivait juste derrière. Plus de peur que de mal. Plus bas, quelques buissons nous compliquent un peu la tâche, mais on s’en sort. La neige devient collante, on fait le concours DVA puis retour au chaud.
3e jour, direction Ovronnaz. Une équipe profite de la station, l’autre se balade du côté du Grand Château, en bonnes conditions. Le temps s’améliore nettement, le jeudi sera beau.
4e jour, départ du camp de base en direction de la Pointe-Ronde, 1200 mètres plus haut. Ca commence par un long sentier en forêt jusqu’à l’alpage de la Giète, puis de belles pentes mènent à la longue et régulière pente sommitale. Tout le monde ne monte pas au même rythme, mais tout le monde arrive en haut. C’est quasiment la première fois, depuis le début de ces camps, qu’aucun participant ne doit renoncer ou abandonner en cours de route ou durant la semaine, et c’est ça la plus belle réussite. Une neige à nouveau parfaite s’offre à nous pour descendre, puis pour épargner des ligaments croisés ou autres blessures tordues et aussi préserver les semelles de ski, nous les crochons au sac et marchons sur le sentier qui nous ramène au camp de base.
5e jour, une perturbation passe, on ne voit pas à 5 mètres, il neige un peu. Aussi, nous décidons de rester sur les canapés de l’hôtel et de parler, aidés par Instagram et Youtube, d’avalanches, de neige et de montagne, en songeant déjà au camp de 2025.
Merci l’équipe, merci et bravo à nos hôtes du col de la Forclaz pour l’accueil et les bons repas.


Diemtigtal, Bodzehorn, couloir nord ouest, 2 février


Pour la 5e fois cet hiver, visite de cette superbe vallée, aujourd'hui en compagnie de Steph; le temps est gris, malheureusement le soleil est resté au Jura. On chausse encore les skis à moins de 100m de la voiture, mais ça ne risque pas de durer. Après une bonne demi-heure de marche, un joli couloir encaissé nous fait de l'oeil au Bodzehorn, en voiture Simone! La neige est plutôt dure, mais tout à coup on remarque une très petite couche de velours dessus. La pente s'accentue, on sort les couteaux. Il y a du monde au Drumännler tout proche et deux personnes sur le Bodzehorn. Nous, on ne vise pas le sommet de la montagne, mais plutôt l'entrée du couloir. Les 100 premiers mètres sont réellement bons, les meilleurs de la journée. Puis, c'est plus irrégulier mais on a vu pire, on s'en sort bien. La partie inférieure, sur le "Steibode" est plutôt agréable, même si le léger jour blanc nous fait parfois découvrir de petits vallons aux dernier moment; on répète les arrêts d'urgence. Puis, comme la descente était "pas mal" mais sans plus, le syndrome V.E.U ne nous taquine pas aujourd'hui. Le dernier bout, moins désagréable que dimanche dernier nous permet de retrouver la voiture assez facilement. C'est toujours le bonheur de se balader dans ces montagnes skis aux pieds et se dépenser en bonne compagnie !


Diemtigtal, Mannlifluh, 28 janvier


Décidémment, le printemps frappe déjà à la porte, on ne sait vraiment plus à quel sein se vouer. Pour ce dimanche, avec Cindy, je choisi de skier au soleil. Cap sur l'un des plus haut sommet du coin, la Mannlifluh, 2652m. Du monde, du soleil, de la vue qu'est-ce qu'on veut de plus? La température est plutôt clémente pour un mois de janvier. On trouve encore un peu de poudreuse sur un fond dur au dessus de 2200 environ, ensuite c'est des conditions de fin de saison, sauf en bas ou le peu de soleil qui arrive laisse une neige "béton" avec des traces gelées, pas le plus agréable.


Ce serait bien si l'hiver revenait... Belle journée tout de même, merci Cindy.


Diemtigtal, Mariannehubel, 19 janvier


Rendez-vous du vendredi avec Steph, ce coup-ci, on change de sport, la poudre est tombée, on ne va pas se faire prier pour faire des traces avant la cohue certaine du week-end. Les grands classiques ne le sont pas pour rien, quand ils sont (presque) immaculés, ils sont justes mythiques. Nous montons d'un bon pas, dépassant un à un tout ceux qui ont eu la même idée que nous. La descente directe sur la bergerie, dans le Chelli, est excellent même si on sent la croûte du dessous qui casse. Il suffit juste d'aller assez vite.


Arrivés au point 1554, on ne va tout de même pas en rester là. Le syndrome V.E.U existe encore, même chez des quinquas (ou pré-quinqua). Hop, c'est reparti pour 500m de montée en direction du col au sud du Chalberhöri. Et là, dans un paysage féérique et glacial, c'est une descente parfaite qui s'offre à nous.


Vive l'hiver!


Précautions à prendre lorsque l'on croise des galinettes cendrées et autres habitants des lieux


Décembre / Janvier: Pérégrinations solitaires au Lötschental et au Diemtigtal.


Pour plus d'informations...

Le danger dLe danger d'avalanche

Un bon lien pour planifier des sortiesUn bon lien pour planifier des sorties

Galerie photo

De retour à la Grave, ça fait si longtemps..., cette fois, il semble qu il y ait, entre autres, poudre et soleil au programme
De retour à la Grave, ça fait si longtemps..., cette fois, il semble qu il y ait, entre autres, poudre et soleil au programme

La face nord de la Meije
La face nord de la Meije

La Meije et le Rateau
La Meije et le Rateau

Le Mont-Blanc au loin
Le Mont-Blanc au loin

Sur le glacier de la Girose
Sur le glacier de la Girose

On prends de l énergie, vive la France!!
On prends de l énergie, vive la France!!

Montée aux Jumelles sud, massif de l Oisan
Montée aux Jumelles sud, massif de l Oisan

Vue des Jumelles sud, le Pic de neige Cordier et au fond, la Barre des Ecrins. Devant, le Pic de Chamoissière nous fait de l oeil...
Vue des Jumelles sud, le Pic de neige Cordier et au fond, la Barre des Ecrins. Devant, le Pic de Chamoissière nous fait de l oeil...

Descente des Jumelles sud en neige de printemps
Descente des Jumelles sud en neige de printemps



Le groupe de la Meije vu du col du Lautaret
Le groupe de la Meije vu du col du Lautaret

Un bon point de départ
Un bon point de départ

Sous le sommet des Pics de Combeynot, la route du col tout en bas
Sous le sommet des Pics de Combeynot, la route du col tout en bas

La jeunesse devant...
La jeunesse devant...

Pic de Combeynot, la vallée de la Grave en bas
Pic de Combeynot, la vallée de la Grave en bas

Descente des Combeynots, excellente mais il ne faut pas traîner si on veut encore y voir quelque chose
Descente des Combeynots, excellente mais il ne faut pas traîner si on veut encore y voir quelque chose

Dans les entrailles de la montagne
Dans les entrailles de la montagne

Sauvagerie
Sauvagerie

Dans le flanc nord du Pic de Chamoissière, la neige fait nettement plus envie qu au fond du vallon
Dans le flanc nord du Pic de Chamoissière, la neige fait nettement plus envie qu au fond du vallon

Des traces qui font rêver au Pic de neige Cordier, la Barre des Ecrins en arrière plan
Des traces qui font rêver au Pic de neige Cordier, la Barre des Ecrins en arrière plan


Descente du Pic de Chamoissière, une neige parfaite, un super groupe qui suit, que veut on de plus?
Descente du Pic de Chamoissière, une neige parfaite, un super groupe qui suit, que veut on de plus?



La jeunesse attirée par ces belles formes
La jeunesse attirée par ces belles formes

Pic de Chamoissière, refuge de Villars d Arène
Pic de Chamoissière, refuge de Villars d Arène

La Grave, Oisan 2024. Merci c t équipe, on reviendra!
La Grave, Oisan 2024. Merci c t équipe, on reviendra!

Au Dreizehnhorn (13horn) avec l UNINE
Au Dreizehnhorn (13horn) avec l UNINE

Le massif des Mischabels et le mur de foehn qui nous laisse un bon répit ce jour-là
Le massif des Mischabels et le mur de foehn qui nous laisse un bon répit ce jour-là

Conditions de rêve
Conditions de rêve

Un peu plus bas, dans les pentes de Chiemattbode
Un peu plus bas, dans les pentes de Chiemattbode

du 5 étoiles
du 5 étoiles

sur une autre planète
sur une autre planète

Blanc immaculé, que veut-on de de plus?
Blanc immaculé, que veut-on de de plus?


Camp CPNE 2024, Croix des Prélayes au dessus de Martigny
Camp CPNE 2024, Croix des Prélayes au dessus de Martigny

On compose avec une météo mitigée... rester sous les nuages ou presque, et au dessous du danger marqué
On compose avec une météo mitigée... rester sous les nuages ou presque, et au dessous du danger marqué

La Carraie
La Carraie

Grand Château, Ovronnaz
Grand Château, Ovronnaz

Grand Château, Ovronnaz
Grand Château, Ovronnaz

Grand Château, Ovronnaz
Grand Château, Ovronnaz


Pointe Ronde, il fait granbô
Pointe Ronde, il fait granbô

Pointe Ronde
Pointe Ronde

le petit coup de cla-clac pour achever sa conversion commence à être assimilé
le petit coup de cla-clac pour achever sa conversion commence à être assimilé

Le Bas-Valais, l altitude de la limite de l enneigement est tout de même effarante pour fin février
Le Bas-Valais, l altitude de la limite de l enneigement est tout de même effarante pour fin février

Camp CPNE 2024, Pointe ronde, l équipe au complet
Camp CPNE 2024, Pointe ronde, l équipe au complet

Un petit raidillon pas mal du tout
Un petit raidillon pas mal du tout

Pointe Ronde
Pointe Ronde

on sait bien que ce canton abrite les champions (en soutane), pas besoin de se vanter...
on sait bien que ce canton abrite les champions (en soutane), pas besoin de se vanter...

Bô Valeuh...
Bô Valeuh...

Extase en solitaire (entre 2 gurosans et 3 alca-selzer) au Schafberg avant de filer aux bains thermaux
Extase en solitaire (entre 2 gurosans et 3 alca-selzer) au Schafberg avant de filer aux bains thermaux

Un autre monde, qui ne me fait pas rêver...
Un autre monde, qui ne me fait pas rêver...

chaque année on fait presque les mêmes photos
chaque année on fait presque les mêmes photos

un an de plus, toujours du plaisir
un an de plus, toujours du plaisir

j espère qu il y aura encore d autres occasions
j espère qu il y aura encore d autres occasions

Bodzehorn et son couloir nord ouest, Diemtigtal
Bodzehorn et son couloir nord ouest, Diemtigtal

Dernière conversion, si la neige est dans l oberland, le soleil est resté au jura, on ne peut pas tout avoir
Dernière conversion, si la neige est dans l oberland, le soleil est resté au jura, on ne peut pas tout avoir

Descente du couloir, pas si mal.
Descente du couloir, pas si mal.

Les typiques piles d assiettes de la région
Les typiques piles d assiettes de la région

Bodzehorn, couloir nord ouest
Bodzehorn, couloir nord ouest



Diemtigtal, c est tout même triste de voir des conditions comme ça début février
Diemtigtal, c est tout même triste de voir des conditions comme ça début février

Arrivée au soleil pendant la montée à la Mannlifluh, Diemtigtal
Arrivée au soleil pendant la montée à la Mannlifluh, Diemtigtal

Mannlifluh
Mannlifluh

Montée à la Mannlifluh, merci Gino pour la photo
Montée à la Mannlifluh, merci Gino pour la photo



Pente sommitale de la Mannlifluh, encore poudreux, sur fond dur
Pente sommitale de la Mannlifluh, encore poudreux, sur fond dur

puis ça vire "printemps"
puis ça vire "printemps"

Et là, c est franchement du gros sel
Et là, c est franchement du gros sel

En montant au Mariannhubel en janvier, Diemtigtal
En montant au Mariannhubel en janvier, Diemtigtal

On se croirait en Himalaya
On se croirait en Himalaya


Mariannhubel, et la pente d en face nous fait de l oeil, vite encore une!!
Mariannhubel, et la pente d en face nous fait de l oeil, vite encore une!!




Sur le col au sud du Chalberhöri
Sur le col au sud du Chalberhöri

Ambiance en direction du Fromattgrat
Ambiance en direction du Fromattgrat

Chalbehöri, et la batterie du smartphone n aime pas quand ça caille, donc plus de photos, mais quelle poudre!
Chalbehöri, et la batterie du smartphone n aime pas quand ça caille, donc plus de photos, mais quelle poudre!

Rothorn vu du Rauflihorn, ou l appel du caillou
Rothorn vu du Rauflihorn, ou l appel du caillou

Diemtigtal
Diemtigtal

Poudreuse dans le versant est du Rauflihorn
Poudreuse dans le versant est du Rauflihorn

11.01.2024
11.01.2024

25.12.2023, le Bietschhorn, dans le Lötschental
25.12.2023, le Bietschhorn, dans le Lötschental

en direction de la Tennbachlücke
en direction de la Tennbachlücke

Sur le Tennbachgletscher, sous le point 3158, quelle chaleur
Sur le Tennbachgletscher, sous le point 3158, quelle chaleur

Le Doldenhorn
Le Doldenhorn

Mensonge, ce sont les pistes qui sont dangereuses, avec tous ces cons qui ne maîtrisent rien et qui risquent de vous biller dedans
Mensonge, ce sont les pistes qui sont dangereuses, avec tous ces cons qui ne maîtrisent rien et qui risquent de vous biller dedans